economie d'eau ou arrosage intelligent

Les périodes d’arrosage Au printemps et en automne, il est préférable d’arroser le matin, pour que le sol absorbe tranquillement l’eau. L’été l’arrosage se fait de préférence en soirée. On évite ainsi l’évaporation trop rapide pendant la journée. Évitez l’arrosage en plein soleil, néfaste pour les plants tendres de salade ou les fleurs fragiles et qui perd de son efficacité Les types d’arrosage Choisir entre arrosage de surface ou arrosage enterré. Ce dernier est efficace et programmable Le top est l’arrosage goutte-à-goutte, également ou micro-irrigation. Ce système est respectueux de l’environnement et terriblement efficace. On voit à peine les traces d’eau en surface mais en dessous des poches d’eau se forment pour atteindre directement les racines des jeunes plantations. Pensez à installer des récupérateurs d’eau de pluie. Les capacités varient en principe entre 200 et 1500 litres. L’intérêt est aussi avec ce système d’utiliser une eau non traitée Et souvenez vous que l’arrosage sur une terre compacte est une aberration. Pensez au vieil adage « Un binage vaut deux arrosages ». Faites des cuvettes au pied de vos arbres et arbustes. Pour les petites surfaces et les potagers, l’arrosoir est un bon compromis. Le tuyau dont on joue comme un jet d’eau est à prohiber. Il est porteur de gaspillage. C’est ainsi que selon les zones, les techniques d’arrosage peuvent être différentes

SINON LAISSEZ FAIRE LA FEE ARROSAGE

J’ai soif clamait la fleur, la corolle courbée 

Mon habit est fané et mon cœur fatigué. 

Au fond du potager, sur le sol épuisé

 Les légumes criaient : « On est déshydratés » 

Quelques feuilles tombaient d’un arbre desséché.

 Le jardin s’énervait et se mit à râler. 

Mais une fée est passée au cœur même de l’été. 

Elle a tout arrosé et rendu la gaité 

Aux fleurs, au potager qui pour la remercier,

 La tête ont relevé, ont fleuri, ont poussé 

Et quand le jardinier, un matin est rentré

 Il a vu, étonné,tout l’monde le saluer. 

La morale de l’histoire…

 C’est qu’il faut croire aux fées … Surtout en plein été 

Annie Kubasiak-Barbier